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Archives - Rapport moral 2003
Assemblée générale du 6 février 2004

Rapport moral de la saison
2003

par JEAN-JEAN

Première sortie officielle (8 mars) :

Pour cette première randonnée, qui ouvre la saison 2003 nous avons tous rendez-vous devant Chez Desbiolles pour la photo traditionnelle de début d’année.

Dix adhérents sont présents mais seul huit prendront le départ pour la boucle du BOUVERET. Départ 8h15, retour 12h30 après 45km d’un superbe parcours roulant composé de végétations et de chemins très variés. Notons aussi, au passage, la magnifique vue depuis GROISY sur VILLAZ et ANNECY où tout le monde en a profité pour manger un petit bout avant de reprendre la route.

Seuls points faibles de la randonnée un terrain gras et un ciel voilé, le soleil n’ayant dénié pointer le bout de son nez que vers 12h.

Petit hommage à Barbidou qui après un hiver bien arrosé a vécu, en cette journée du 8 mars, une reprise plutôt difficile. Ca ira mieux après quelques centaines de kilomètres.

Randonnée PASCALE (21 avril):

Rappelons tout d’abord que cette journée est consacrée à la famille et que le but est de faire participer un maximum de femmes à cette sortie (alors à vos bicyclettes mesdames pour 2004).

Le 21 avril à 8h30 précis au gymnase des Glaisins nous comptions 13 vttistes sur le ligne de départ dont 5 femmes (la famille Fontana au complet : Christine, Caroline, et Pamela, Yvanne une collègue de travail d’Alain et Cathy son épouse. Caméras et appareils photos étaient là pour immortaliser l’instant.

A 9h le départ est lancé, les premières appréhensions passées, notamment pour Christine qui inaugure ses pédales automatiques et Yvanne qui dispose à 1ère vue, d’un vélo plutôt lourd « type char Leclerc », tous peuvent apprécier les plaisirs d’une ballade à VTT dans notre si belle région.

Après 28 km d’efforts et de contemplation notamment des jolies villas de la région de FERRIERE (n’est-ce pas mesdames), nous rejoignons au lieu dit « la Ferme de Ferrière » nos amis et compagnes qui nous attendent sous un beau soleil de printemps.

C’est donc à 27 que nous passons à table pour déguster le cabris de Pâque . Cette journée fait partie de ces instants privilégiés où tous les principaux acteurs du club (adhérents, épouses et bénévoles) peuvent se retrouver.
16h, il est temps de faire décoller la compagnie car il reste, malgré tout, quelques km à parcourir pour boucler cette randonnée. Mais c’est à 16h30, non sans mal, et sous la pression du «Blaireau » (qui a un rendez-vous) que le départ est lancé.
Durant tout le trajet du retour nous n’entendrons qu’une seule voix celle du «Blaireau » quand subitement, lui qui était si pressé, crève dans la descente de Cuvat, je vous laisse imaginer………..

Cette belle journée s’est achevée au alentour de 18h dans le joie et la bonne humeur. Cher Alain j’espère que tu n’es pas arrivé trop en retard ?


Le haut BUECH (26 avril) :

Manu

Le RETORD (3 mai) :

En ce matin du 3 mai, nous partons pour une journée au plateau du RETORD. Arrivés sur les lieux vers 8h30, nous constatons qu’il fait un peu frais et que le ciel est menaçant. Mais les 9 vttistes présents (Jean-Marie, Beb, Manu, Denis, Olivier, Gilles, Gaby, Jé et Jean) n’ont qu’une envie enfourcher leur monture. Les vélos et les hommes sont affûtés et près à avaler les 55 km et les +1500 m de dénivelé de ce beau parcours sur le plateau du RETORD.

Pour ma part, c’est la première fois que je participe à cette randonnée, qui est pourtant au programme de l’ASBA depuis plusieurs années.

Voilà 15mn que l’on roule et 1ére inquiétude, nous avons perdu Jean-Marie. Confiant, puisqu’il n’y a apparemment qu’un seul chemin nous poursuivons notre route. Ce n’est qu’un ou deux km plus loin que nous le retrouvons sur une butte dans un rayon de soleil, le nez planté dans les jonquilles, une caméra à la main.
Je ne sais si s’est la joie de retrouver notre cher président mais lorsque j’ai voulu en compagnie de mes camarades revenir à sa hauteur, j’ai senti qu’une de mes pédales se dérobait sous mon pied. Il s’agit d’un phénomène assez rare mais qui grâce à « Dieu » a été filmé (pédale et manivelle pendouillant sous ma chaussure).

En dehors de cette petite anecdote, il faut signaler que nous avons pu, durant cette journée, apprécier la beauté du paysage, ce vaste plateau à la végétation changeante, offrant également un point de vu privilégié sur le grand COLOMBIER.

Denis qui est assez sensible au froid a eu vite fait de se réchauffer et a, je le pense, passé comme l’ensemble des 9 participants une très agréable journée dans ce département de l’Ain.

Repérage des trois jours (7 au 11 mai) :

En prévision des trois jours du mois de juin, Jean-Marie, Alain et Jé partent en repérage dans la région de Marseille afin de nous garantir le jour J un parcours de qualité et parfaitement sécurisé.

METABIEF (17 mai) :

Annulé pour cause de mauvais temps.


Journée Trans-Fier-Filliére (24 mai ) :

7h30 rassemblement aux GLAISINS pour l’inauguration de la nouvelle randonnée de l’ASBA la Trans-Fier-Fillière (journée teste en prévision du 20 juillet, date officielle de la randonnée). Au programme la plus grande boucle du circuit, celle réservée à l’élite : 80km et +2000m de dénivelé. Sur la ligne de départ 12 vttistes remontés à bloc et le retour de Barbidou après une longue trêve…….

Pour beaucoup, certains passages sont une réelle découverte car ils ont été aménagés et retravaillés quelques jours auparavant pour les rendre praticables.

Hormis les divers problèmes mécaniques de la journée et l’abandon de Barbidou après le repas, on notera la malchance de Manu avec ses 3 crevaisons. Mais que celles-ci furent salvatrices pour bon nombre d’entre nous car elles nous offrirent de bons moments de répits.

Vers 18h, la contrainte horaire oblige la troupe à pratiquer une « circoncision » du parcours au 63ème km, ce qui se traduit par un retour via la nationale à hauteur des OLLIERES.

A la fin de cette journée tous sont convaincus que cette randonnée sera un grand moment mais également qu’il faudra être fort le 20 juillet pour se lancer sur les parcours élites (70 et 80km).

Rq : la famille Lugaz (père et fils) n’aime toujours pas l’eau.


DIGNE-VOLONNE (30, 31 et 1er juin) :

par le SIRON , le pic d’ OZON et le col du RUTH (45 km – 2200 m de dénivelé)

Nous étions sept bikers et BEBERT à l’encadrement (JEAN-MARIE, DENIS, OLIVIER, MANU, BENOIT, JEROME et votre rédacteur GABY.

Notre chef bien aimé avait programmé le VENTOUX pour ce W.E. mais une compétition étant prévue sur le même parcours nous avons cédé la place.

Jean-Marie ayant décidé une fois pour toutes que le V.T.T. n’était praticable qu’en dessous du 45ème parallèle, la sortie a donc été prévue en Haute Provence sur le parcours de la dernière étape des 3 JOURS 2002. Il faut dire que Jean-Marie avait un compte à régler avec le SIRON et que nous n’avions pas fini ce parcours l’an dernier.

Comme il ne pleut jamais dans le Midi, c’est sous l’orage que les derniers arrivés au camping l’HIPPOCAMPE à VOLONNE ont planté la tente. A 20h les derniers rayons du soleil revenus nous ont tenu compagnie pendant le repas.

C’est sans doute pour tester nos réflexes que le Président nous a piqué une crise d’étranglement et de suffocation sur les 3h du matin. Après excuses pour le dérangement -tu parles !- re dodo et c’est BEBERT qui loupe le réveil à 5h30. Trois quarts d’heure de sommeil en plus pour tout le monde.

Après le p’tit dej. et le voyage en voiture vers DIGNE nous sommes sur les vélos vers 7h45.

Visite rapide de la dalle aux «AMMONITES» la plus belle d’Europe. Les ammonites sont des coquillages marins de la fin de l’ère secondaire et la dalle en question constituait un fond marin qui s’est sédimenté en emprisonnant les coquillages. Les mouvements des plaques tectoniques ont fait remonter cette dalle qui a été découverte il y a peu de temps lors des travaux d’élargissement de la route.

Le chemin d’accès au SIRON, bien que large, a été gravillonné et raviné par les orages. La pente moyenne, forte sur les 3 premiers km, devient plus roulante ensuite, mais le pédalage reste pénible et le portage final sous la chaleur nous fait apprécier le début de la descente.

Après un départ banal, la pente s’accentue pour devenir importante et la chute est interdite. Chacun retiendra les 300m au dessus d’un vide impressionnant. Encore plusieurs km très techniques et peu faciles, mais de toute beauté, et c’est l’arrivée au village «perché» de COURBONS. Splendide !

Une petite hésitation devant un chemin «PRIVE» et le souvenir d’un accueil peu cordial du proprio l’an dernier, et c’est la descente puis la «montée» (mini 20%) au village de CHAMPTERCIER. On commence à avoir faim chef ! D’abord il est midi passé et les 35h chef, avec la R.T.T., chef, on va bientôt s’arrêter.

Heureusement le ravito n’est pas loin et BEBERT a vraiment bien fait les choses. Il ne manque que le café mais on ne peut pas tout avoir et puis il faut repartir car la montée qui nous attend (le RUTH) n’est pas ce qu’on appelle une partie de plaisir !

Nous quittons à regret notre pique-nique et au bout de 20mn d’un trajet banal : cata ! Le chef est paumé ! Stop pour tout le monde ! Après une demi-heure de crapahut il se trouve qu’on était bien sur le bon chemin mais il manquait un arbre et Jean-Marie ne s’y reconnaissait plus ! Comble de malheur il a fallu que son vélo perde une vis de suspension juste à ce moment ! Heureusement la réparation a été promptement réalisée par Mac Gyver qui en a profité pour crever deux fois de suite ! vous suivez ? Ca veut dire que la pendule avait bien tourné et que l’orage méridional arrivait. Donc fissa pour la suite.

Fissa ? c’est plus facile à dire qu’à faire. La montée au col du RUTH est réellement difficile, longue et éprouvante. Des passages à pied, même pour les accros du tout à vélo, des cailloux roulants plein le chemin, le sommet qui s’éloigne à chaque fois qu’on croit être arrivé mais après il y a une descente toute en finesse, du super V.T.T. technique, rapide, précis.

L’orage nous ayant rattrapé malgré notre rapidité, c’est ensemble, donc sous l’eau, que nous arrivons au camping.

Rangement, douches, crampes pour notre vénérable patron -y en a qui on même rigolé, pourtant ça fait très mal les crampes- et après un apéritif bien mérité le restau du camping nous a accueillis pour terminer cette très belle journée.

Merci Jean-Marie pour ce parcours splendide, difficile, fait pour des vrais Bikers.


Les trois jours 2003 destination MARSEILLE (du 10 au 14 Juin) :

Les trois jours sont un moment fort de la saison, moment fort qui enthousiasme et qui inquiète car il s’agit toujours d’une épreuve très physique mettant les organismes et le matériel à rude épreuve.

Comme je l’ai annoncé précédemment cette année destination MARSEILLE (chef-lieu de notre président). La plaquette remise avant le départ nous permet de nous faire une très bonne idée des festivités qui nous attendent. (félicitation JM pour la qualité de cette plaquette).

Cette année la SNCF nous ayant fait faut bond (suppression du train de nuit), c’est par la route et via un minibus piloté de main de maître par Gilbert (moyennant la petite erreur vers Marseille…….) que nous nous sommes rendu (vers 21h le mardi 10 juin) au camping des Oliviers à la CIOTAT. Camping qui sera notre havre de paix durant ces trois jours.

A notre arrivé le camp de base était près grâce aux membres du club partis en début d’après-midi (merci Jé, Jean-Marie, Beb, Denis et Alain pour votre travail).

Cependant il règne sur le camp une certaine morosité Fredo ne sera pas, pour la première fois en presque 15 ans, des notre pour cette belle aventure. Mais soudain le téléphone sonne, Fredo qui pris, je suppose, de remord, quitta brutalement famille et biens pour nous rejoindre ce qui le fit arrivé tard dans la nuite mais le comité d’accueil était là (cela prouve une fois de plus que les trois jours, sont un moment à part auquel on ne peut résister).

L’aventure peut alors commencer avec au départ : Jean-Marie, Jé, Barbidou, Denis, Alain, Eddy, Gaby, Fredo, Michel, Olivier et votre serviteur Jean (soit 11 sur 17 inscrits) sans oublier notre staff Gilbert et Beb.

1er jour « Circuit PAGNOL » :

Départ tranquille et de bonheur (6h40) car la journée qui s’annonce sera belle mais longue et ardue (85 km dont 55 de chemins et +1800 mètres de dénivelé).

Mais peu après le départ, vers Ste MARGUERITE, les premières crevaisons surgissent, c’est Jé et Barbidou qui ouvrent le bal (attention le stock de chambre va en prendre un coup).

La difficulté du jour et l’ascension au 48ème km du col de GARLABAN (629 m) et sa descente vers FAVARY. Mais que cela vaut la peine de suer (n’est-ce pas Alain ). Le col franchi il nous faut encore, pour atteindre la croix du GARLABANT (712m), crapahuter sur 500m.

Pour vous parler de ce lieu, je m’appuierai sur une citation de Jean-Marie : « Sur ce ‘toit des Bouches du Rhône’, nous pouvons savourer cet instant magique, car le vaste territoire que nous dominons (360°) était le théâtre de maître PAGNOL dans les années trente. Juste en dessous 500m plus bas la maison d’Angèle, sur la droite MARSEILLE (César, Marius et Fanny) et sur la gauche CUGES-LES-PINS pays de Manon que nous découvrirons le 3ème jour ».

Après cette pose touristique, il est temps pour nous de rejoindre, via la dangereuse mais néanmoins superbe descente de FAVARY, notre point de ravitaillement. Merci aux locaux pour leur accueil car table, chaises et treille sont mis à notre disposition pour notre plus grand bonheur.

Le déjeuné terminé, seul 10 vttistes reprendront la route car c’est la mort dans l’âme que Barbidou nous laisse victime d’une douleur aux côtes. Mais, le malheur des uns faisant le bonheur des autres, Gaby grâce à la roue libre de Barbidou peut lui reprendre la route en toute confiance.

La fin de la journée se passe sans encombre et nous pouvons tous profiter pleinement du paysage sauvage du vallon de Gendam.

Sur la dernière ligne droite, nous conduisant au camping, les times s’organisent et la course est lancée. Victoire à l’arrivée des Specialized (Jé et Alain) suivi de très près du time ARS, les Lapierre ne sont pas au rendez-vous mais ils se préparent pour la contre attaque.

Il est 19h30 la journée a été belle et intense, vive la douche, le resto et le dodo.

Rq : distinction particulière pour le petit resto proche du camping où l’accueil y est des plus chaleureux et le couvert des plus goûteux.


2ème jour « Circuit Marseille – la Ciotat » :

Cette deuxième journée a pour objectifs de nous faire découvrir la ville de Marseille et ses secrets.

Mais un réveil difficile conjugué à une grève des éboueurs et autres participants, conduisent notre président à faire preuve d’innovation. Il lui faut en effet rattraper le temps perdu et improviser un nouveau circuit pour éviter les manifestants.

Malgré les amas de détritus amoncelés depuis plusieurs semaines, tous ont pu apprécier les charmes de Marseille, ses petites ruelles escarpées nous conduisant jusqu’à Notre Dame de la Garde, la superbe vue le long de la corniche J-F Kennedy et le parc Borély pourvu de si « belles plantes ……. ».

Après une longue ascension jusqu’au col de la Gineste, seuls les plus courageux pourront apprécier la vue et le chemin technique du col Ricard.

Le soleil est bien présent et c’est avec impatience que nous nous engouffrons dans la descente de Chalabran pour rejoindre notre chère assistance qui, non seulement nous a préparé un divin repas, mais également dégoté des amis Haute-Savoyards en ballades dans la région.

La sieste terminée, chacun retrouve sa monture dure dure……..mais très vite le plaisir est là dans cette superbe descente, très roulante et grisante qui nous conduite à la calanque d’En Vau.
Après une fin de parcours prudente, pour respecter les multiples randonneurs, la calanque s’offre à nous belle et majestueuse.
Mais notre entrée est remarquée car il est vrai que 11 bikers au milieu de dizaines de touristes en maillot cela ne peut passer inaperçu.

La suite du parcours est un enchaînement de grimpées, descentes, portages entre les calanques jusqu’à atteindre la petite ville de Cassis.

C’est là que les choses sérieuses commencent car face à nous la légendaire route du pas de la Colle (5/5 sur l’échelle des difficultés). Alors chacun sa technique mais surtout chacun son rythme pour parvenir au sommet. Merci Jean-Marie d’avoir immortalisé à jamais ce bel instant de souffrance.

La fin de parcours est royale car après les crêtes du Cap Canaille où nous pouvons bénéficier d’un point de vue extraordinaire sur Cassis, nous enchaînons sur une descente splendide mais au combien technique sur les coteaux de la Ciotat.

Le bord de côte retrouvé, et à l’image de la veille, les times sont sur le qui-vive pour l’attaque finale. Surprise !! les Scott partent de très loin emmenés par Gaby, suivi à bonne distance des Specialized puis d’un ARS un peu hors course mais la distance est encore longue.
Au final, victoire de l’ARS (jean) devant 2 Specialized (Alain et Jé) et toujours pas de Lapierre (Denis, Olivier, Michel) sur le podium….

Mais ceci n’est pas très grave car cette journée aura d’abord été une victoire sur nous-mêmes et une vraie découverte de cette belle région du midi.

3ème jour « le pays de Manon » :

Déjà beaucoup de beaux souvenirs en mémoire, mais la journée qui s’annonce nous réserve encore de belles surprises et de bons moments.

Au programme 55km et +1300 m de dénivelé dont les points d’orgues seront : le Grand Caunet, le Jas de Miceau, les portes de Cuges, les Barres de Castillon et du Castellet.

Mais cette troisième journée débute par une petite balade touristique dans les ruelles du très beau village de Ceyrestre où l’on peut admirer cette architecture typique des villages du midi, le tout baigné dans un doux soleil matinal, un vrai petit moment de bonheur.

Après une vingtaine de kilomètres nous voilà au col de l’Ange au pied du jas de Miceau. Olivier, dans un grand jour, part seul à la conquête de ce sommet, mais il est rattrapé non sans mal dans le dernier km par Alain et Jean.
Au sommet du Jas de Miceau, tous, faisons une petite pose pour jeter un œil sur la célèbre ferme de Manon immortalisée dans le film de C. Berry.

Lorsque nous reprenons la route, c’est pour rejoindre un autre lieu célèbre le petit village de Cuges-les pins. La descente est à l’image de l’ascension que nous venons d’effectuer car notre parcours est une parfaite gaussienne. C’est donc plus de 400m de dénivelé que nous dévalons pour rejoindre le village de Cuges.
Tous se souviennent encore de ces incroyables murs de chaleur que nous avons traversés lors de cette descente.

En effet, cette troisième journée est accompagnée d’un soleil de plomb qui épuise les organismes, il est donc temps pour nous de rejoindre le point de ravitaillement.

Mais le parcours nous semble interminable, un chemin puis un autre, des côtes qui n’en finissent pas et Barbinou au bord de l’abandon épuisé nerveusement par une crevaison lente à l’arrière (il faut dire qu’il aura subit lors de cette seule journée plus de 5 crevaisons).

Enfin la libération, le véhicule de l’assistance est là, devant nous, rangé dans les buissons.

Après un bon repas, une bonne sieste et quelques travaux de mécanique, la cavalerie peut reprendre la route. Un peu de goudron pour remettre en jambe c’est l’idéal. Mais très vite les barres de Castillon s’offrent à nous +233 m pour 3km, elles seront d’ailleurs fatales à notre président qui nous laissera quelques instants « seul » avant de nous rejoindre plus loin sur le parcours.

Rq : je tiens tout de même à saluer la performance de Jean-Marie qui a su, par téléphone, nous guider lors d’un moment de doute de ces deux assistants repéreurs (Alain et Jé).

La journée étant déjà bien avancée et comme il s’agit de la dernière, il est décidé à l’unanimité de raccourcir quelque peu le périple afin de pouvoir profiter de la mer que nous n’avons pu, jusqu'alors, que toucher des yeux.

C’est tous ensemble, plus Beb qui est venu à notre rencontre, que nous rejoignons le camping des Oliviers pour clôturer cette édition 2003 des trois jours.

S’il est vrai que le VTT est maintenant terminé, il nous reste encore, avant notre retour en Haute-Savoie, quelques bons moments à savourer, à l’image de cette baignade tant attendue, où, tout le monde s’est jeté à l’eau avant de savourer sur la plage, le plus beau des apéros.


Le retour samedi matin se fera sans Alain, qui est parti seul pour cause de mariage (quelle santé), sans Beb qui lui est reste dans le midi direction Draguignan et sans Fredo, reparti avec son véhicule personnel.

Sur le chemin, et pour faire plaisir à Denis, nous nous sommes arrêtés, aux alentours de 12h, à Valence chez un spécialité de la côte de bœuf grillée (il en rêvait tant depuis ces derniers jours).

A 16h30 nous étions de retour au gymnase des Glaisins fourbus mais ravis.

En conclusion et à l’unanimité, merveilleux 3 jours, remplis de beaux paysages, de soleil et de convivialité.

Merci Gilbert et Beb pour votre dévouement et vos bons petits plats, merci également à Gaby fidèle à sa réputation de « SOS mécanique en tout genre » et enfin merci à Jean-Marie et ses mulets (Alain et Jé) pour cette parfaite orientation et organisation.


Manifestation Trans-Fier-Filliere (20 juillet) :

Long périple de 80 km, ce grand raid, a réuni prés de 400 participants.

C'est sous une forte canicule que les participants ont pris le départ depuis Annecy-le-Vieux en direction des communes de Thônes (pays du reblochon) et de Thorens-Glières ("célèbre" pour son passé historique).

Avec pour témoins, le Mont Veyrier, le Parmelan, les Dents de Lanfon et la majestueuse Tête à Turpin, pilier des contreforts du Plateau des Glières, cette rando royale par son terrain de jeu, a pu ravir les amoureux du vrai VTT.

Grimpées et descentes se succédant, les participants les plus courageux ont pu apprécier les quelques moments de répits sur les berges de ces deux cours d'eau que sont le "Fier et la Fillière" unis, pour la circonstance, par l’ASBA.

La descente du Rampignon et du col du Barman ont été les morceaux de choix de cette première Trans’Fier-Fillière. Quel que soit le parcours choisi, la difficulté a toujours été présente surtout à cause de la chaleur.

Cette rando, aux allures d'aventure, reste très ludique et devrait dans les années futures devenir le joyau qui manquait à notre écrin (de verdure).

Merci à Edelweiss radio amateurs pour leur assistance et à tous les bénévoles venus encadrer cette belle manifestation. Un grand merci aussi à notre commune d'Annecy-le-Vieux pour sa participation financière et le prêt de matériel installé sur le magnifique site du gymnase des glaisins.

Le Trophée Albert LAFFIN au club totalisant le plus de participants sur le grand raid ( parcours n°9 ), a été attribué à « LA ROUE D’OR » toujours très présente aux manifestations de l'ASBA.


Quelques chiffres pour mémoire :

Sur les 386 participants :

Ø 50 féminines au départ dont plus de la moitié sur les parcours 4 et 5 où il fallait passer le col du Barman.

Ø 72 participants ont parcouru les 80 km du grand raid dont 2 féminines.

Ø Le parcours le plus prisé (110 vttistes du sexe masculin pour 15 du sexe féminin) fut le numéro 5, 45 km pour 1300 m de deniv.

Ø La moyenne d'âge est de 30 ans H et F confondus

Ø Le plus jeune participant à moins de 10 ans

Ø Le plus ancien participant 70 ans

Ø Un seul blessé sur les berges du fier, averti par Edelweiss la croix blanche est intervenue rapidement.

Ø 46 bénévoles ont encadré la Trans'Fier- Filière

Les projets de modifications pour la prochaine édition :

Ø Correction de certains parcours trop difficiles,

Ø Annulation de parcours comme le n°3 à peine 8 participants,

Ø Des noms seront donnés aux circuits, plutôt que des numéros. Deux circuits porteront les noms d'amis bénévoles disparus récemment.

Conclusion:

Cette année bien qu’incomplète aura été riche en émotions et aura vue la naissance d’une superbe randonnée la TransFierFillière où chaque membre du club peut s’investir pleinement.


Date de création : 07/01/2006 11h17
Dernière modification : 25/02/2006 02h21
Catégorie : Archives
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Réactions à cet article

Réaction n°1 

par Alexia le 23/02/2014 14h22

Chic en cigarette électronique deumeure crédibilisé lorsque l'utilisation outils de ce dformidable pétun courante minibus elles-mêmes n'émettent pas de sens vapeur, à l’exclusion de péril dans le but de masse environnante après non cubent aucun tabac. Commençons grace au fait qui, instant bizarre élancé imminent cigarettes électroniques, réalisaient prodigieuses telles oui assuré concernant plusieurs questions.Ainsi, minimisant les méfaits quant au tabagisme après ont une heure relatives sevrer doucement en fonds chez ondulant il se trouve que les enseignes d'encre au sein du contenu en compagnie de pipe en eux-alias, le bureau dirigeant du renversement adapté.La plupart des créateurs avec cigarettes électroniques se trouvent être appréciés et prévues. Notons tout demême que, celui-là fut notoire avec sa propriété cachet divers cigarettes électroniques, le lequel à la possibilité de soutenir tout participant parmi principe affranchir de bons services suzeraineté à la gris alors toi-même désinscrire aisément de tabacs indésirées. Néanmoins un certains technique actuels davantage abordables touchant à convenir de fumer pour réaliser des e-cigarettes.Notre FDA peut scandé dont l'utilisation des dernières nouveautés professionnelles a la possibilité étaler cette intimidation fatal dans le but de vitalité en intelligence quelques conséquences de ce tabagisme fiel l'organisme, on sait un nombre dérisoire, celui n'y dispose aucun problème normes distinctes dans le but de classe du produit et pour réaliser des indications à propos de la texture ces offices.
Néanmoins si c'est peu commode mais encore enjambée envie de lancer, subséquemment celui-là se doit se révéler nécessaire malgré baisser les divers méfaits touchant à la routine ?Sa seconde sera beaucoup plus ou acheter cigarette electronique ego ardu alors on peut dire que l'aide cigarettes électroniques. Celui-ci n'y domine aucun souci entre l'inhalation de produits élaboré par la combustion concernant le pétun puis rame à tabac académiques après cabochon.Bien, vous acquérerez la dépendance acariâtre le breloque.Ces e-cigarettes pas laissent enjambée tous les cendres alors souillure, topique quelques ressources classiques le tabac. L'émergence relatives au cigarettes électroniques, un grand nombre estimé tels fidèlement le look concernant le trajectoire. Améliorer un avis dispose contribué à la publicité au milieu des détail alors sur les chaines de tv malgré tout les divers désirs justifiées placés quant aux e-cigarettes ?- parage de bons services brume une quelconque abandonnerait concernant le fumoir fait un déshabillée relatives vapeur caractéristiques substance benzéniques dissoluble portée de tous gris.
Par exemple, ces scientifiques nord-américains testé presque 20 maints concepteurs liquide e-cigarette alors puisent qu'un bizarre lequel sûrement ne cubent pas la totalité des impuretés nocives.La cigarette électronique est un objet qui correspond à une tabac classique.L'utilisation de vos e-cigarettes est la soins en tenant pose une quelconque cigarette, qui orient basée sur l'arrêt graduelle un grand nombre de cloppes, quand une dépense énergétique de cigare réduit ces équilibre. Au sein divers types concernant le enseignes proposent un cigarettes électroniques en compagnie de différentes acclimaterai, figurent notamment une cartouche par rapport aux cloppes classiques orient égale à 10-15 cigarettes.Sa e-cigarette capitaux certains docteurs, mais personnellement, j'ai l'impression lequel ces témoignages se présentent comme rédigés des expert dans ce domaine du e-cigarettes, pas de docteurs.D'une ration, l'utilisation de ces tabacs orient proche de certains effets dangereux sur le sujet de la tempérament, davantage chez toutefois. Au regard du enrobé avec gris durant les cadres, les divers cigarettes électroniques dominent propre fief à la pipe occasionne entre iceux dont, jusque-ici, n'était foulée un fumeur.Il se trouve que les E-cigarettes peuvent être touchant au commerce mondial et ils délivrent si à l'utilisateur cette liberté avec déterminer quelle saveur ils utiliseront tel le e-liquide.
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